Mot-clé choisi : Nazisme
Il faut toujours faire un choix, comme disait Himmler en quittant Auschwitz pour aller visiter la Hollande, on ne peut pas être à la fois au four et au moulin !
C’est plus fort que moi : plus la situation est sombre, plus j’en ris. Juif aux années sombres, j’aurais sans doute contrepété aux portes des chambres à gaz, n’eussent été les menaces du fouet. (j’ai horreur qu’on me fouette quand je contrepète.)
Quand quarante mille Juifs s’entassent au Vel d’Hiv’, il faudrait être armé d’une singulière mauvaise foi pour les taxer de snobisme.
On ne m’ôtera pas de l’idée que, pendant la dernière guerre mondiale de nombreux Juifs ont eu une attitude carrément hostile à l’égard du régime nazi.
« Faute avouée est à moitié pardonnée », disait Pie XII à Himmler.
« C’est à ses vêtements élimés qu’on reconnaît un communiste », disait le regretté Heinrich Himmler, qui était toujours très propre sur lui….
Comme disait Himmler : « Ça me dépasse qu’on puisse être à la fois juif et allemand. Faut savoir choisir son camp. »
En un mot comme en cent, chers habitants hilares de ce monde cosmopolite, je répéterai inlassablement qu’il vaut mieux rire d’Auschwitz avec un juif que de jouer au scrabble avec Klaus Barbie.
Il y a dans Mein Kampf un véritable cri d’espoir dans l’humanité comme chez Karl Marx. Il faut avoir lu Mein Kampf et le Capital avant d’aborder Poirot-Delpech, sinon on ne comprend pas bien le Front Populaire et ça fait moins rigoler à la fin quand les boches arrivent…
J’ai fait tous les métiers sauf prostitué : j’ai horreur qu’on me souffle dans le cou quand je cherche le sommeil.
Sans don, nul et fainéant, je résolus pourtant de devenir fonctionnaire. (…) Je fus nommé inspecteur-surprise à la brigade des stupéfaits, là, on me changea principalement de collaborer aux révisions des grandes affaires criminelles restées mystérieuses. Je conclus rapidement au suicide du photographe dans l’affaire Greenpeace, et à la responsabilité des milices chiites dans l’affaire Grégory. Mais c’est surtout ma thèse sur l’accident dans le drame d’Oradour-sur-Glane qui me valut les foudres d’un commissaire anti-SS hystérique qui finit par avoir ma peau.
Le nazisme tombé en désuétude en 1945 – excellente année pour les bordeaux rouges, encore qu’on puisse lui préférer 1947 -, prônait le racisme, le militarisme, le progrès social et l’assiduité aux carnavals métalliques avec flambeaux et oriflammes à grelots.